Comment vous sentez-vous à présent que vos coéquipiers et vous êtes en Coupe du monde 2014 ?
Vraiment là je me sens très fier ; j’ai le sentiment d’avoir bien fait. Le finish est parfait.
L’aventure aura-t-elle été plus difficile que belle, pour un nouveau comme vous ?
Là je suis vraiment très content d’avoir atteint mon objectif ; comme vous le dites, en tant que nouveau joueur il a fallu que je prouve, car avoir une place sur le terrain n’est jamais facile ; il faut assurer.
Un pallier de franchi ; qu’envisagez-vous dès lors ?
Un pas de franchi c’est vrai, mais il y a encore beaucoup à améliorer ; il va falloir rester déterminés et s’armer de courage pour affronter les meilleurs équipes du monde. Là, j’ai envie de dire que ça ne rigole plus. Alors, on va beaucoup travailler, pour encore rehausser l’image de notre pays au niveau mondial.
Jusqu’à quel moment avez-vous vu venir cette qualification ?
Honnêtement, en venant ici, étant dans le bus, on ne cessait de demander les résultats du Nigéria (face à l’Algérie), mais on nous a dit qu’il était mené 2 sets à 0. Là on s’est dit c’est foutu… Et tout de suite après on nous rappelle pour nous annoncer que le Nigéria vient de prendre 1 set, et là on a compris qu’il faut tout donner. C’est à ce moment qu’on a décidé de battre le Gabon avec de la manière.
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