Volley-Ball

Serge Eyango : « la saison ne fait que commencer, tout reste à venir ».

Première défaite pour une première sortie, quel goût cela vous laisse-t-il ?

Ça c’est vrai, ça en est une, mais comme vous le dites la saison ne fait que commencer, tout reste à venir.

Vous aviez pourtant le match à votre portée en tout début…


Je pense que cela est dû en partie au manque de compétitivité lié à l’arrêt du championnat ; c’est vrai qu’à un moment ça allait mais ça s’est corsé par la suite, il ne faut pas aussi négliger le fait que FAP revient d’une coupe d’Afrique, donc ce qui n’est pas rien ; ils ont un peu plus de compétitivité dans les jambes quoi.

Que prévoyez-vous faire après cette défaite ?

Je sais déjà qu’on ne saurait mettre en cause notre capacité technique, mais je me dis qu’il y a quand-même pas mal de choses à travailler dans la gestion des ballons défendus, c’est-à-dire qu’on n’arrive pas à gérer les ballons récupérés et on ne défend pas assez bien aussi. Mais j’ose croire que ça ira.

Serge Eyango, votre fiche technique…

Je suis né le 1er Janvier 1985 à Buéa, mon premier club était Mendong Volleyball en 1998 ; j’avais juste 14 ans à l’époque donc ce qui fait qu’après la seule saison passée là-bas, mon père me demande de rentrer à l’école (rire). Mais en fin 2000 j’ai intégré le club SONEL où j’ai passé 4 ans, puis je suis allé à Mbalmayo Volleyball où j’ai fait deux ans. Mbalmayo Volleyball a changé de nom par la suite pour devenir Camtel Volleyball, j’y ai joué un an, puis l’équipe a été dissoute. L’année d’après je suis allé jouer dans l’équipe du Quartier Général pendant un an, avant de poser mes valises à FAP Volleyball pour 2 ans, puis l’INJS 3 ans. Là on vient de mettre sur pied Cameroun Sport et je commence avec le club.

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