Belle prestation de votre équipe ; que retenez-vous de cette rencontre contre Cameroun Sport ?
Il faut reconnaitre que c’était une belle rencontre, mais il ne faut pas perdre de vue que c’était le premier match du premier tournoi régional.
Vous sortez d’une trêve là ?
Oui nous sortons d’une très longue trêve, avec les élections et les différents changements qu’il y a eu au sein de la fédération ; je dirais que ce tournoi est le bienvenu, pour remettre les différentes équipes sur pied. On pourra démontrer ce que nous avons eu à préparer depuis l’arrêt des regroupements du championnat national.
Au début Cameroun Sport semblait au dessus de vous, comment avez-vous remonté la pente ?
Vous savez, ça fait pratiquement deux mois que les équipes sont en inactivité, mais nous nous sortons de la coupe d’Afrique à Tripoli, même si nous avons eu aussi une cassure de plusieurs jours ; je pense que c’est grâce à nos capacités individuelles, parce qu’on a plus compté sur ça qu’au collectif.
Cameroun Sport n’aura pas démérité quand-même…
(Rire) Au contraire, c’est une très bonne équipe ; nous avons d’ailleurs l’habitude de l’affronter, donc aujourd’hui je ne sais pas si elle a eu peur de nous, je ne sais vraiment pas. Toujours est-il qu’on la considère, c’est elle qui nous créée pas mal de soucis donc on la prend toujours au sérieux. Malgré qu’elle soit nouvellement créée, elle est très performante.
Quel est votre parcours ?
Mon premier club c’est CFE de Bertoua en 1993, c’est mon club formateur et j’y ai passé 5 ans : mon deuxième club a été UCB de Douala en 1998 où j’ai passé un an, puis je suis allé à Port Autonome de Douala où j’ai fait une saison et depuis ce temps j’évolue à FAP Volleyball.
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