Où s’est faite la différence dans ce match, coach Pagou ?
La différence était au niveau de la fraicheur physique hein et de l’envie surtout. Mes gars ont respecté les consignes, et m’ont donné satisfaction aujourd’hui.
Mais en venant jouer aujourd’hui, vous étiez conscient de ce que APEJES accusera une baisse de régime, suite à le challenge avec Coton ?
Non, vous savez, c’est le championnat ; et dans un championnat, chacun a un effectif fourni pour assurer les lendemains. Nous par exemple, en sept jours nous avons joué trois matches ; c’est les aléa du calendrier, et il faut tenir. Nous sommes en ligue professionnelle, donc il faut se préparer en conséquence.
C’est une certaine revanche, vu que vous avez entrainé le club d’APEJES ?
Non, pas du tout ; je suis toujours le bienvenu à APEJES. Il n’y a pas rancune, ni revanche, j’ai juste été le gagnant ce soir c’est tout.
Il faut reconnaitre que ce match, vous l’avez préparé de façon particulière, connaissant le club personnellement…
Ça je le reconnais ; je connais un peu tout le monde, leur état d’esprit, donc on s’est préparé pour ça.
Qu’allez-vous dire à vos joueurs tout-à-l ’heure dans les vestiaires ?
Juste félicitation, et surtout qu’on reste concentré. On a pris les trois points, c’est très bien, mais il faut continuer à bosser.
Toutefois, on a noté une certaine légèreté en fin de match, votre équipe se laissait déjà aller…
Oui, oui, c’est vrai ; vous savez, quand vous menez 2 buts à 0, c’est un état d’esprit, donc il y a eu déconcentration naturelle et c’est malheureux, parce qu’on aurait pu marquer deux à trois buts encore, là les enfants ont fait preuve de beaucoup de naïveté et il faut corriger tout ça.
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