Le stage externe se poursuit dans l’antre de la sélection féminine nationale de handball dont vous êtes la capitaine ; revenons sur votre match de préparation contre la Fondation Nziko (femmes)…
Fondation Nziko est une équipe au niveau légèrement inférieur, mais le coach Zambo avait un but précis qu’il voulait atteindre en nous confrontant avec elle. Il nous donné des consignes qu’on a d’ailleurs bien respectées.
Le fait que vous n’ayez assez de matches amicaux aurait-il un impact dans votre mental ?
Vous savez, c’est plus dû à un problème administratif, alors en tant que joueuse je ne peux donner plus d’éléments. Sinon, c’est déjà bien d’affronter les équipes-peu importe le niveau- car on peut tout aussi atteindre des objectifs avec, il suffit de respecter les consignes du coach. Les encadreurs font des efforts pour que nous ayons des matches amicaux avec les équipes locales. C’est mieux que de ne pas disputer des matches du tout.
Donc jusqu’ici tout se passe bien pour vous ?
Ça se déroule très bien.
Votre avis sur le niveau de jeu de vos coéquipières ?
L’équipe a été rajeunie à 80% et vous voyez vous-même nous sommes en pleine détection et ce qui est intéressant c’est qu’au niveau de la taille, de la morphologie et de la volonté, les filles sont prêtes. Il va falloir batailler pour ramener une bonne place et surtout gagner la qualification du Cameroun pour la Coupe du Monde.
Un adversaire à abattre à tout prix ?
C’est vrai qu’il faut les abattre tous, surtout le pays organisateur qui revient de la Coupe du Monde. En plus elles se préparent plutôt bien, or nous, nous ne pouvons nous contenter que des préparations au pays. Donc honnêtement, il va falloir avoir un mental de fer pour les rencontrer. Impossible n’est pas camerounaise.
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