La BGFI NOAH TOUR 2018 a mis la clé sous le paillasson. Le circuit désormais pro ITF a rendu sa copie faisant au passage des champions qui ont vu leur classement mondial augmenter.
Au terme de ces deux semaines de compétitions au Tennis club de Yaoundé (du 26 novembre au 8 décembre 2018), qui a vu Skander Mansouri renaitre de ses cendres, Corentin Denolly gagner son premier titre international et Camerounais Clifford NKWAIN qui a gagné son premier point ATP 20 ans après.
Au terme de la Compétition, satisfaite, Annie Eliane Nana Directrice de Tara Sports manageur de cet évènement fait le bilan.
Après ces deux semaines de tournoi, peut-on dire que l’entrée du tournoi dans le circuit professionnel est une réussite?
« Oui, je pense que les athlètes ont parlé pour nous. On a accueilli 30 nationalités sur notre sol, tous sont repartis avec d’excellent souvenir du Cameroun. Même veux qui n’ont pas traversé le premier tour, donc il y a eu du succès sportif. Il ya eu du succès en terme d’accueil et organisation, donc voilà. Nous sommes satisfait le public était content tout ai long fé la quinzaine. »
Peut on dire qu’il y aura des innovations l’année prochaine vu sue Tara sport aime innover?
« Déjà l’année prochaine ce qu’on voudra faire, c’est remplir intégralement le cahier de charge de la Fédération internationale de tennis. Parce que, là il ont été très clément. Il y a des aspects notamment infrastructures que nous ne remplissaient pas. Par exemple, une salle ses joueurs, une connexion stable et fixe, un courant énergétique stable. Donc, ça a légèrement embêté tout au long de la semaine, donc nous aurons à cœur l’année prochaine de stabiliser tout ces petits aspects là et puis après on verra. »
Tara contribue t-il à booster le niveau des tennismen Camerounais?
« Je pense que les résultats sont là pour le prouver. On a eu qu’en même un joueur camerounais qui a eu son premier point ATP après 20 ans. Donc c’est pour nous aussi, c’est une réussite, donc voilà. Je pense que pour les prochaines éditions, les camerounais ont vu la marge de manœuvre qui leur reste à parcourir. Je pense que certains sont déjà au travail, nous espérons que l’année prochaine nous allons avoir un Camerounais en final, c’est notre souhait »
Est ce que l’année prochaine on pourra avoir des dames?
« Vous avez parlé d’innovations, il faut y réfléchir. Mais ça ne dépend pas que de moi, ça dépend de nos partenariats. Ça dépend de la capacité d’accueil du Cameroun, ça dépend de l’accompagnement de la Fédération. Se sont des choses qui vont suivirent mais je ne peux pas cous répondre pour l’instant. ».
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