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F1: Sebastian Vettel (Ferrari) en pole devant Max Verstappen, les Mercedes en 2e ligne

Sebastian Vettel (Ferrari) a crée une petite surprise en dominant la séance de qualification, samedi à Mexico. L’allemand partira en tête dimanche pour la 50e fois de sa carrière, devant Max Verstappen (Red Bull) et les Mercedes de Lewis Hamilton et Valtteri Bottas.

« Pa pa pa pa pa pa… pa pa pa pa pa pa… Yes ! » Sebastian Vettel est tout guilleret à la radio, à la fin de la qualification. Il y a de quoi pour une 50e pole position en carrière, un cap que n’ont connu qu’Ayrton Senna, Michael Schumacher et Lewis Hamilton. Samedi, sur l’Autodromo Hermanos Rodriguez de Mexico, le quadruple champion du monde a mis du piment rouge dans la 18e course de la saison en grattant 0″086 sur le meilleur chrono de Max Verstappen (Red Bull).
1’16″488 d’effort pour un commentaire dithyrambique, Sebastian Vettel avait trop souffert depuis sa der à Singapour pour bouder son plaisir. « C’était un sacré tour ! C’est très compliqué ici, ça glisse beaucoup », a commenté #SV5, seulement deuxième pilote dans l’histoire de la Scuderia en pole position au Grand Prix du Mexique après le Suisse Clay Regazzoni en 1970.
« C’est compliqué de tout bien faire sur un tour. J’ai fait une petite erreur : j’ai dû remettre la première à un endroit mais je n’ai pas perdu de temps. Vendredi, ça n’allait pas très bien pour nous mais nous avons beaucoup amélioré la situation dans la nuit. Nous avons effectué des changements qui ont fonctionné », a-t-il ajouté.
Hamilton sans regrets

« Je suis super énervé ! », a pesté #MV33, qui s’est vu devenir le plus jeune poleman à la place du pilote Ferrari. « En fait, c’est devenu plus compliqué de faire fonctionner la voiture en Q3. »
Jamais dans le coup en Q3, en glissade dans le dernier virage, Lewis Hamilton a reconnu sa défaite. « Ces deux gars ont fait du super travail. Dans le dernier tour, j’aurais pu faire 0″2 plus vite mais ça n’aurait pas suffi pour la pole position », a-t-il exposé. En course un quatrième titre qui lui tend les bras, le Britannique a certifié « être toujours en lice pour la victoire. »
Les Finlandais Valtteri Bottas (Mercedes) et Kimi Räikkönen (Ferrari) quatrième et cinquième, le Français Esteban Ocon (Force India) a décroché un superbe sixième temps. Superbe car il a rangé derrière lui l’Australien Daniel Ricciardo (Red Bull), pour 0″010.


Secoué par son nouveau coéquipier Carlos Sainz à Austin, Nico Hülkenberg a montré qu’il restait le leader de l’équipe Renault en prenant la septième place devant l’Espagnol et le local Sergio Pérez (Force India) qui avait chauffé ses supporters au début de la qualification dans un message radio diffusé en direct dans le stade. Ça n’a pas suffi.

Avec eurosport.fr

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