BoxeSports de combat

Ndia Christelle : « La boxe est un héritage familial chez nous ».

C’est une décharge d’émotions que vous ressentez à cet instant d’avant lancement du championnat d’Afrique de boxe Zone III…

Disons que non ; parce que je suis une habituée de ce championnat, et ça fait un moment que je roule ma bosse en équipe nationale, 4 ans pour être précise.

Et en quatre années, qu’est-ce qui vous a le plus marqué dans ce métier ?


En fait c’est beaucoup plus les compétitions internationales ; nous espérons vraiment que cette année, nous irons loin lors de ces championnats.

Qu’est-ce qui vous amène à la boxe ?

C’est une discipline que j’ai toujours aimé, et je présentais la faire un jour. Dans la famille, presque tout le monde la pratique, frères, tantes, oncles etc. Donc c’est un héritage familial.

Vous bastonniez vos camarades dans les cours de récréation ?

Non, pourquoi ? Vous savez, c’est un sport de combat et non de la rue, même si certains vous diront avoir commencé dans la rue.

Êtes-vous satisfaites du chemin accompli ?

Satisfaite ? je dirais : pas totalement ; vous savez, il faudrait bien qu’un jour le ministère ait un regard sur nous et tienne ses promesses. En même temps, nous de notre côté, devions remplir notre mission également.

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