Entre l’ancien tennisman, Yannick Noah et le président de la Fecafoot, Samuel Eto’o, c’est la ‘guerre froide’. En effet, les deux hommes ne s’entendent pas. Dans la bataille qui oppose la Fecafoot à l’équipementier français Coq Sportif, Jeune Afrique révèle que Samuel Eto’o a refusé de prendre en compte un accord signé entre Yannick Noah et l’ex président de la Fecafoot Mbombo Njoya.
Depuis quelques semaines déjà, Yannick Noah et Samuel Eto’o s’opposent discrètement. La cause de la discorde serait la résiliation du contrat qui liait la Fecafoot, que dirige l’ancien footballeur, au Coq Sportif dont l’ex-tennisman détient une partie du capital.
En effet, Yannick Noah soutient et agit en faveur de l’équipementier français qui n’a pas caché aux autorités son désir d’habiller les Lions indomptables à la Coupe du monde qui va se jouer au Qatar dans quelques mois.
Mais en sa qualité de président de la Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o en dépit des pressions et manœuvres, maintient la rupture du contrat avec Le Cop Sportif. D’ailleurs, il se murmure que dans les prochaines heures, le maillot des Lions indomptables pour le Mondial conçu par One All Sports sera dévoilé.
Dans un article publié par Jeune Afrique le 19septembre et qui est intitulé : « Cameroun : pourquoi Samuel Eto’o et Yannick Noah se font la guerre », le média rapporte en effet qu’en janvier, en marge de la dernière édition de la CAN, qui se jouait au Cameroun, Samuel Eto’o Fils a refusé d’endosser le contrat négocié sous le patronage de la Fecafoot par Yannick Noah auprès des brasseries du Cameroun ».
Ledit contrat est évalué à 500 millions de FCFA. « Il devait notamment financer une série de concerts de Noah pendant la CAN. Ce dont Eto’o n’a pas voulu entendre parler, estimant que la dotation annuelle destinée à la Fecafoot n’avait pas vocation à soutenir ce type de d’évènements. Le projet avait été annulé », écrit Jeune Afrique.
Dans toute cette guéguerre, deux camps se sont formés sur les réseaux sociaux : les pros Eto’o et les pros Yannick Noah. Et toi qui nous lis, qu’en penses-tu ?
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