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Sponsoring : L’argent des Lions indomtapbles…

Les équipes nationales ont deux principales sources de revenus : la vente des droits d’images et les contrats de sponsoring avec des partenaires, au premier rang desquels les équipementiers à l’instar de Coq Sportif avec qui la Fecafoot vient  de signer un contrat de de près de deux millions d’euros  l’an.

« La valorisation d’une équipe nationale est déterminée par plusieurs critères dont principalement les résultats sportifs, la notoriété des joueurs, l’historique de l’équipe et le classement FIFA », résume Rafael Binggeli, du cabinet Sponsorize, auteur d’une étude sur le sujet.

Les équipes nationales ont deux principales sources de revenus : la vente des droits d’images et les contrats de sponsoring avec des partenaires.  Au premier rang desquels les équipementiers à l’instar du Coq Sportif avec qui la Fecafoot vient de signer un contrat, qui selon une source près dossier s’élève à près de deux millions d’euros l’an.


Si la publicité est interdite sur les maillots des équipes nationales, elle ne l’est pas sur les tenues d’entraînement, ni dans l’entourage. « Les partenaires sont principalement des marques locales afin de jouir d’une plateforme au potentiel d’image ultra-compétitif », note l’étude de Sponsorize.

Chaque match (ou presque) de nos équipes nationales s’entoure désormais d’une cohorte d’opérations de marketing, du spot publicitaire aux concours en passant par l’hospitalité VIP.

Leur impact est d’autant plus grand que le football de sélection démultiplie les audiences habituellement recensées pour les matchs de clubs européens. « Chaque fédération vend ses droites télés directement à un diffuseur, mais uniquement pour les matches qualificatifs ou amicaux », poursuit Rafael Binggeli.

Les droits des phases finales sont quant à eux directement gérés par les organisateurs, la CAF ou la FIFA.

Selon que c’est l’équipe fanion ou les sélections intermédiaires qui jouent, les montants peuvent rapidement atteindre des hauteurs importantes.  Tout dépend de la réputation de la catégorie, ses résultats, la présence de superstars ainsi que la concurrence sur le marché de la diffusion locale.

 

 Le boom des matches amicaux

Selon Rafael Binggeli, le sponsoring et la vente des droits d’image représentent 80% des revenus totaux de la plupart des équipes nationales dans le monde. Ce à côté d’autres canaux tout aussi lucratifs. Comme les matches amicaux qui constituent une nouvelle source de financement non-négligeable. « Les matches sur invitation joués sur terrain neutre se développent de manière croissante. Les organisateurs paient alors les équipes pour venir jouer dans leur pays en fonction de la notoriété de l’équipe et de la présence ou non de ses, superstars ( Ronaldo, Messi, Neymar…) ».

Le Brésil arrive ainsi à générer chaque année un revenu d’au moins 10 millions d’euros.  Alors qu’au Cameroun les périodes FIFA sont peu exploitées.

 

 

 

Par : Christian Djimadeu

 

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