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Athanase Nguemba Oloa, coach Canon filles : « le Canon devrait logiquement retrouver ses lettres de noblesse »

Athanase Nguemba Oloa qui a permis au Canon filles de Yaoundé de remonter en première division pense déjà à sa saison en première divisons. Il se confie au micro de Camerounsports.

 

Quelle est l’ambition du Canon cette saison qui va commencer le 16 février ?
« Le Canon qui sort de la deuxième division pour la première voudrait d’abord assoir une équipe capable de jouer les matchs de première divisions. De deux, il faut également aller chercher les résultats qui vont favoriser l’équipe sur le plan mentale. Là, c’est l’objectif au préalable, maintenant, en jouant s’il Ya possibilité d’avoir de bons résultats, on peut calculer soit le championnat, soit la coupe du Cameroun, ce qui est tout à fait normal pour un club tel que le Canon. »


 

Quel est le regard que vous posez sur vos 11 autres adversaires que vous allez affronter en championnat ?
« Il faut le reconnaitre, le football féminin au Cameroun est en train de prendre de l’ampleur, il des joueurs de qualités désormais, maintenant, elles ont tout simplement besoin de continuer à travailler dans les conditions favorables, qui revient à dire que toutes les équipes sont égales. Maintenant sa dépendra du niveau du sérieux de l’administration, du staff technique, mais aussi d’entraînements des équipée de l’intelligence des entraineurs. »

 

Le Canon sort de loin, peut-on espérer un nouveau Canon, loin des polémiques ?
« Comme je l’ai dit, le Canon devrait logiquement retrouver ses lettres de noblesse. Ça c’est la première des choses, parce que lorsqu’on dit qu’en même Canon au Cameroun, c’est un nom à respecter. Donc c’est à nous de tout donner, pour que le Canon retrouve ses lettres de noblesse. Et c’est en passant par ce chemin, c’est-à-dire, ne pas jouer les maintient, mais jouer les premiers rôles. »

 

On constate que l’effectif qui a fait monter l’équipe, ce n’est plus lui qui va poursuivre l’aventure, est un signe du changement ?
« Il faut quand même retenir une chose. C’est qu’on a chassé personne. Là ça devient un problème de niveau lorsqu’une joueuse sur le plan personnel se rend compte qu’elle n’a pas la capacité à tenir, elle commence à se chercher, on a chassé personne pour le moment. Mais elles sont entrain de partir d’elles-mêmes. Il Ya certaines qui sont venues d’elles-mêmes chercher leurs libération. Donc moi je me dis, par rapport aux ambitions du Canon, l’administration et le staff ont tenu une réunion et on est revenu là-dessus, garder ces joueuses, mais renforcer pour l’intérêt du club. »

 

Excepté le Canon filles, avez-vous déjà tenu ne équipe de filles o de garçons ?

« Oui, je suis un entraineur qui a du parcours, je suis à 10 sur le terrain. Prenons juste la saison précédente ou j’avais olympique de Mvangane, ou j’ai perdu la finale des barrages. Et le Canon filles qui est monté e j’ai entrainé la fondre dAkololinga, en 2017 j’étais avec Nyom. J’ai déjà entrainé plusieurs clubs, Cosmos de Bafia, chez les garçons, les couleurs du monde d’Achille Emana, ils sont nombreux, les sporting. J’ai quand même un parcours assez mûres. »

 

Et pourquoi avez-vous choisit de revenir avec cet expertise dans le football féminin ?
« C’est question d’affinité et d)amitié. Bon voilà il Ya des administrateurs au sein du Canon qui sont proche de moi, il mon appelés et j’ai acceptés. La première fois si vous vous rappelez c’était en 2012, j’ai fait un parcours sans fautes et je suis repartir en 20130ou j’ai connu un léger passage par Locomotive et Yaoundé 5, des clubs qui ont été suspendus. Ensuite je suis revenu dans le football masculin et depuis 2018, je suis revenir avec les filles. Je me dis, ça a été un appel et moi j’ai accepté, je me dis quand même que, c’est une autre expérience à vivre et à partager avec les filles. »

 

Le Cameroun va prendre part à la Côme du monde en France. Espérez-vous qu’il y ait au moins une filles dans votre effectif qui soit retenue ?
« Je peux dire oui, parce que nous étions en réunion la semaine dernière avec l’entraîneur nationale, qui a ouvert les portes, qui nous a tendu la main, il a demandé que ce que nous avons de meilleure, qu’on propose pour l’équipe nationale et que désormais n doit travailler main dans la main, donc je pense que, c’est aux filles d’aller défendre leurs qualités là-bas. Elles auront l’opportunité de connaître des stages avec les autres. ».

 

 

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Frida Nolla

Rédactrice Sports / Declik Group

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