CAN Féminine 2016Football

CAN 2016 : les journalistes sportifs se sont rafraichis

C’est un séminaire de formation pendant lequel les journalistes de sports se sont refait une santé. Ils ont reçu un coup de neuf, sur le rappel de certaines règles de déontologie. Les intervenants, tous rompus à la tache étaient des hommes qu’on ne présente plus. En effet M. Peter Essoka, Président du conseil national de la communication, a entretenu les présents sur le thème ‘’le journaliste et l’éthique professionnel. » Puis, le très expérimenté Abel Mbengue s’est déployé « sur la conduite à tenir en situation de couverture d’un évènement international ». Jean Lambert Nang, s’est étendu les stratégies à mettre en œuvre pour la réussite d’un bon reportage. Enfin, s’était au tour d’Emmanuel Samnick sur l’écrire et le genre journalistique…

Que du bonheur pour les participants qui ont été ressourcés. Une seule phrase a résumé cette séance d’exhortations : « S’informer pour mieux informer ».

Jean Lambert Nang, Responsable de la Communication du comité d’organisation de la CAN 2016 : «  ce sont de petits détails qui font un grand évènement de l’envergure de la CAN. Nous nous sommes attelés à leur rappeler ce qu’ils ont peut être oublié parce que  ce n’est pas tous les jours qu’on est face à une compétition comme la CAN féminine et celles qui suivront. Notre objectif c’est qu’à la fin ou pendant cette couverture de CAN, chacun sache où il doit mettre les pieds, où ne doit pas… qu’il sache de ce qui est de son devoir et ce qui est de ses obligations. ».


Priscille Moadougou, journaliste sport à Mutations : « C’est un sentiment de satisfaction parce que nous avons balayé tous les pants, toutes les chaines. C’était quelque chose de pratique, de théorique et  ça nous a vraiment permis d’être au point pour la compétition. Parce qu’on a encore neuf jours, donc il ya encore des choses qu’on peut faire, des réglages, en ce qui concerne  la collecte de certaines données sur les joueuses sur le staff, sur l’historique et tout. Donc on a encore un peu de temps que nous pouvons mettre à profit. Ça nous permet de nous approprier la discipline, la rigueur parce que nous serons non seulement des reporters, mais aussi des ambassadeurs de notre pays, pour la presse internationale. C’était quelque chose d’intéressant, surtout la qualité des intervenants qui sont pour la plupart des journalistes chevronnés et aguerris qui ont une vingtaine d’années d’expérience. Ils ont été confrontés à des difficultés et ils nous donnent donc les clés pour une meilleure couverture possible. ».

 

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