Il va défier le président de la CAF, Issa Hayatou, lors du Congrès électif de l’instance confédérale, le jeudi 16 mars 201, à Addis Abeba (Ethiopie).
Avant cette date, il bat le rappel de ses troupes et fait une cour assidue aux présidents de Fédération encore indécis. C’est dans ce cadre qu’il s’est rendu le jeudi 2 mars 2017, au Nigeria pour rencontrer le président de la Fédération nigériane de football (NFF), Amaju Pinnick, un de ses soutiens.
Au cours de cette visite, celui qui veut tomber le baobab Hayatou a avoué que sa candidature a été suscitée par ses pairs : « Ce n’était pas mon ambition de devenir président de la CAF, mais des collègues comme le président Amaju Pinnick de la fédération nigériane de football m’y ont encouragé, après le congrès de la FIFA à Mexico, l’an dernier », a révélé Ahmad Ahmad.
Il a par la suite levé un coin de voile sur les innovations qu’il veut apporter : « Je crois que de nombreuses choses doivent changer dans le football africain (…). Nous devons modifier notre formation des arbitres et des entraineurs. Nous ne pouvons délivrer une licence d’arbitrage après seulement 10 jours d’apprentissage. Pour l’instant, il ne s’agit que d’un certificat pour trouver du travail. Notre développement dans le domaine technique doit évoluer », a-t-il dit.
En visite au Nigéria, Ahmad avoue que ses collègues l’ont encouragé à affronter Hayatou
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Le président de la Fédération malgache de football, Ahmad Ahmad était en visite rapide, le jeudi 2 mars 2017, au Nigéria où il a avoué avoir été poussé par certains de ses collègues pour affronter Issa Hayatou, au Congrès électif de la CAF, le jeudi 16 mars 2017, à Addis Abeba.
Le président de la Fédération malgache de football, Ahmad Ahmad, va défier le président de la CAF, Issa Hayatou, lors du Congrès électif de l’instance confédérale, le jeudi 16 mars 201, à Addis Abeba (Ethiopie).
Avant cette date, il bat le rappel de ses troupes et fait une cour assidue aux présidents de Fédération encore indécis. C’est dans ce cadre qu’il s’est rendu le jeudi 2 mars 2017, au Nigeria pour rencontrer le président de la Fédération nigériane de football (NFF), Amaju Pinnick, un de ses soutiens.
Au cours de cette visite, celui qui veut tomber le baobab Hayatou a avoué que sa candidature a été suscitée par ses pairs : « Ce n’était pas mon ambition de devenir président de la CAF, mais des collègues comme le président Amaju Pinnick de la fédération nigériane de football m’y ont encouragé, après le congrès de la FIFA à Mexico, l’an dernier », a révélé Ahmad Ahmad.
Lire aussi cet article: La visite de Gianni Infantino à Madagascar provoque des remous à la CAF
Il a par la suite levé un coin de voile sur les innovations qu’il veut apporter : « Je crois que de nombreuses choses doivent changer dans le football africain (…). Nous devons modifier notre formation des arbitres et des entraineurs. Nous ne pouvons délivrer une licence d’arbitrage après seulement 10 jours d’apprentissage. Pour l’instant, il ne s’agit que d’un certificat pour trouver du travail. Notre développement dans le domaine technique doit évoluer », a-t-il dit.
Par : Adolphe Angoua
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