La Coupe du Monde de football Russie 2018 est une véritable réussite, tout au moins en ce qui concerne les transports.
La ville de Moscou contient à elle seule un total de 14 lignes de métro y compris la Moscow Central Circle (MCC) qui serpentent la ville.
Avec un total de 252 stations, dont 25 stations de métro 31 stations de MCC et 6 stations de monorail, Moscou est bien fournis. C’est le plus vaste système de transport dans le monde entier.
Chaque jour, plus de 11.000 trains transportent plus de 8,5 millions de passagers, avec un intervalle minimal de 1.5 minutes de pointe. Moscou bien sûr est la plus vaste ville d’Europe avec une superficie de 2542 km. Cette superficie pourrait sembler déroutante, mais n’est pourtant pas un frein pour les différents visiteurs de la ville et encore moins pour les Moscovites. Les milliers de supporters venus vivre la Coupe du Monde de football se retrouvent facilement d’un point à un autre. Bien sûr pour cela, il suffit juste de savoir lire, parce que, toutes les indications sont visibles et lisibles.
Les années précédentes, tout était écris en Russe, mais maintenant, il ya aussi de l’Anglais. A l’entrée de chaque station de métro, une carte de métro est matérialisée et l’on peut voir les gens s’y référer en cas de besoin, avant d’emprunter une ligne de métro. Au delà de ces deux langues, on retrouve aussi dans les différentes brochures des langues tels ; le français, l’Espagnole, pour que toutes les personnes présentent se sentent intégrés.
Pour ce qui est des journalistes venus couvrir la compétition, tout est facile. De longue distance séparent les Villes en Russie, mais pourtant ils les parcourent. Avec le système de transports gratuit mis en place par le pays organisateur, chaque journaliste a eu un passe de transports qui lui donne droit à la gratuité du Metro, des bus pour parcourir la ville et des trains sont aussi à disposition, pour aller dans les autres villes du pays sans débourser de l’argent.
Par ailleurs, d’autres reporters ont la possibilité de se déplacer en avion, d’une ville à une autre et les tarifs sont plutôt à la portée du reporter moyen.
Par : Frida Nolla à Moscou
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