Ce lundi soir, la déception était palpable dans le camp de Lamine Yamal après le sacre d’Ousmane Dembélé, couronné Ballon d’Or 2025 au Théâtre du Châtelet, à Paris. Son père, Mounir Nasraoui, n’a pas caché son amertume devant les médias espagnols, lâchant simplement : « L’année prochaine, il sera à nous. »
Quelques heures plus tard, dans une interview accordée par téléphone à l’émission El Chiringuito, le père de la pépite du FC Barcelone a exprimé son incompréhension face au choix du jury. « Je ne dirais pas un vol, mais c’est un préjudice moral pour un être humain. Je crois que Lamine Yamal est le meilleur joueur du monde, de loin… très loin. Pas seulement parce que c’est mon fils, mais parce qu’il n’a pas de rival. C’est Lamine Yamal. »
La deuxième place au Ballon d’Or 2025 n’est qu’une étape dans l’ascension fulgurante de Lamine Yamal. Déjà reconnu comme l’un des plus grands talents de sa génération, le prodige du FC Barcelone peut transformer cette déception en moteur. L’année prochaine, tous les regards seront tournés vers lui : 2026 pourrait bien être l’année de sa consécration, celle où il inscrira son nom au sommet du football mondial.
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