L’objectivité journalistique est écorché de plus en plus, lorsque les journalistes se mettent à prendre parti. Les journalistes ont pour rôle principale de relayer les informations en toute neutralité, mais surtout avec objectivités. C’est d’ailleurs ce à quoi ils s’attellent durant cette Coupe du Monde Russie 2018.
Mais de plus en plus, certains se laissent souvent entrainer à supporter certaines équipes. Sont ils originaires de tels ou tels pays, cela ne devrai pas influencer leur travail. Mais hélas, d’autres se retrouvent de plein fouet dans ce travers.
C’est d’ailleurs ce qui s’est passé lors de la rencontre qui a opposé la Colombie à l’Angleterre le 3 juin 2018 au stade du Spartak de Moscou. Resté en salle de presse pour regarder le match, des journalistes se sont tout d’abord assis en fief de pros Colombiens et pros Anglais.
Lorsque l’Angleterre s’est vu accorder un pénalty, les pros Anglais ont jubilés et ceux de la Colombie ont criés à l’injustice. L’ouverture du score sur pénalty d’Harry à la 57e min et fait des heureux.
La fraction Colombienne a bien été identifiée lorsqu’aux arrêts de jeu (90+3), a redonné espoir aux siens en égalisant.
Le coup de frayeur lui ai intervenu lors de la séance de tirs aux buts a débutée. Des cris de détresse et d’encouragements de part et d’autres. Une fois que l’Angleterre a arraché son ticket qualificatif, le travail et la confraternité a repris place.
Cela s’est aussi fait remarquer à plusieurs reprise à la tribune de presse, lorsque une équipe marque, on remarque très rapidement quels sont les journalistes sportifs qui les accompagnes.
Par : FRIDA NOLLA à Moscou
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