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Ligue 2, 1ere journée: Etoa Meki et Belabo FC se neutralisent (0-0), Renaissance s’impose face à Dynamic (1-0)

La saison sportive 2014-2015 de la ligue 2 de football a débuté Ce samedi 21 février 2015. Deux matchs se sont joués au stade omnisports de Yaoundé. En enlevé de rideau, La première rencontre qui a opposé Etoa Meki à Belabo FC s’est soldée sur un score de parité (0-0). Cette rencontre palpitante s’est achevée sans but, malgré l’engagement des deux formations. Les visiteurs venus de l’Est rentrent avec un précieux point, surtout quand on sait que c’est leur premier match en Ligue 2.

« Nous avons eu beaucoup de difficultés pour nous entrainer ici à Yaoundé, c’est pourquoi nous n’avons pas pu garder le rythme. Cependant l’équipe d’en face n’a pas démérité, nous avons résisté et  avons fait nul. Nous allons certainement faire mieux pour la suite. Les consignes n’ont pas été respectées, on a travaillé sur le pressing haut, mais ils ont joué le bloc bas. On aurait pu presser haut et gagner mais malheureusement ça n’a pas été le cas. Nous avons besoin de gagner pour monter en ligue 1 ». NDZANA Stéphane Coach de BELABO FC à la fin de la rencontre.

À 15h30 Renaissance de Ngoumou est entrée en lice. L’ancien pensionnaire de la ligue 1 arrache la victoire dans ce match qui l’opposait à Dynamic (1-0). Le but des garçons de Ngoumou a été inscrit par ASAMBA ZE Yannick à la 28ème minute. Malgré les contrattaques de leurs adversaires le score restera inchangé. Les poulains du coach MANI EBE Bertrand empoche les 3 points de la journée.


« L’équipe doit continuer à travailler d’avantage puisque l’effectif  a été renouvelé à 95%, vu que nous avons été reléguée en division inférieur. J’espère juste que maintenant comme la compétition a commencé, on va continuer à travailler pour finir par trouver la cohésion. Nous ne sommes qu’à notre 25ème jour de travail y compris les tests mais dans l’ensemble ça y est et ça va aller. Vous avez remarqué notre banc de touche, il n’y avait même pas de second gardien tout ça va s’arranger parce que l’administration s’y attelle». Nous explique MANI EBE Bertrand, le coach de  Renaissance de Ngoumou.

Par Nolla Frida

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