Basketball

Belle Henri Christian : « Nous formons la relève du basketball camerounais de demain »

Parlez-nous du gros des activités que vous prépareriez au sein de votre commission ?

On a déjà eu à organiser deux regroupements et les phases finales se sont tenues le 8 juin dernier, les petits tournois pourront s’organiser entre les 9-10 ans (2 clubs dont Onix et Flamboyant), 11-12 ans (2 équipes, Vogt et Mbalmayo) et 13-14 ans (3 clubs dont Espoir, Vogt et Onix). Il y a lieu de préciser que ce sont des équipes mixtes (filles et garçons mélangés) vue leur âge.

Remarquez-vous un certain engouement autour de ces activités ?


Bien sûr que si ; vous savez c’est la relève qui est assurée avec ce basketball jeune, alors oui, les gens se ramènent vraiment massivement.

Les parents envoient-ils facilement leurs enfants vers vous pour ces activités ?

Déjà en tant qu’encadreur de jeunes, je puis vous dire que c’est pas une tâche facile, parce que jusqu’ici nous allons encore vers les parents pour leurs expliquer que le sport et les études vont ensemble, et ici beaucoup de gens n’ont pas cette culture. Mais sinon, ça commence à venir, et on voit beaucoup de jeune venir pratiquer la chose, pas comme loisir mais plus parce qu’ils envisagent un jour faire carrière.

Et la périodicité de ces activités…

C’est vrai que les années précédentes on les tenait le long de l’année, mais cette année on n’a pas pu du fait de l’élection du nouveau président de la fédération qui est tombée très tard, raison pour laquelle les activités étaient en stand by. J’en profite pour présenter les excuses à ceux qui nous attendaient tout en leurs promettant que l’année prochaine on lancera nos activités assez tôt.

On remarque également que les clubs n’étaient pas aussi nombreux lors de vos regroupements cette année ?

Oui cela est dû au retard des dépôts de dossiers. Sinon, la majorité a estimé qu’on s’y est pris très tard aussi.

Votre mot de fin ?

J’encourage déjà tous ceux qui ont animé ces différentes journées, et je félicite leur travail sur le terrain au quotidien, parce que c’est pas facile, être sous le soleil avec ces jeunes là (rire)

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